Emergence Therapeutics se conjugue en série A

Article CFNEWS, publié le 23 décembre 2021

 

Emergence Therapeutics… émerge ! Jusqu’alors plutôt discrète, la biopharma fondée en 2019 avec le concours de Kurma Partners et établie à la fois à Marseille et Duisburg, en Allemagne, vient en effet de boucler un tour de série A de 87 M€, sursouscrit de surcroît. La jeune société développe de nouveaux ADC (antibody drugs conjugates), une classe de médicaments où un anticorps est lié à une toxine avec un ligand. Ceux-ci sont censés attaquer la cellule cancéreuse en visant un antigène déterminé mais épargner les cellules saines (à la différence de la chimiothérapie qui attaque les cellules de façon indifférenciée). « Nous avons favorisé les investisseurs anglo-saxons de type crossover dans la perspective d’une future IPO sur le Nasdaq », explique Thierry Laugel, associé de Kurma Partners. Mené par le fonds israélien Pontifax, le tour réunit les américains RA Capital Management, un VC spécialisé dans la santé qui vient de lever son 3ème fonds de venture de 880 M$, OrbiMed Advisors, qui a collecté 1,5 Md$ pour son fonds de venture dédié aux biotechs et medtechs, Surveyor Capital (une société du hedge fund de Chicago, Citadel), et un européen (tourné vers les pays nordiques), Hadean Ventures, en tant que nouveaux investisseurs. Les investisseurs existants Kurma Partners, NRW.BANK (la banque publique de développement de la Rhénanie du Nord-Westphalie), High-Tech Gründerfonds, Gründerfonds Ruhr et Bpifrance à travers son fonds InnoBio 2 se sont joints à eux, ainsi que le management.

Premiers essais sur les patients en 2023

Avec une équipe de scientifiques basée historiquement à Marseille qui, après s’être approchée de Heidelberg Pharma pour tester l’un de ses toxines (non retenue d’ailleurs) a noué des liens puissants avec l’Allemagne au point de s’y installer aussi, Emergence Therapeutics est un « designer » d’ADC. Son premier anticorps conjugué à un médicament, ETx-22, cible la Nectine-4. Cet antigène tumoral découvert à l’Institut Paoli-Calmette de Marseille est une molécule massivement exprimée par les cellules tumorales mais pas par les cellules saines, ce qui en fait une cible de choix, validée par un pionnier des ADC, l’américain Seagen (ex Seattle Genetics) qui la cible également avec un produit déjà enregistré. « Les premiers essais réalisés par Emergence démontrent que son anticorps est de meilleur qualité que celui de l’américain, de même que son ligand qui conserve la toxine, elle-même très puissante, et la libère de façon préférentielle dans l’environnement tumoral. ETx-22 présenterait ainsi un indice thérapeutique dix fois supérieur à celui du produit immuno-conjugué déjà sur le marché », estime Thierry Laugel. La biotech, qui avait déjà levé 6 M€ en seed (subventions comprises) vise en premier lieu les cancers de la vessie et du sein triple négatif, puis des tumeurs malignes avec des niveaux moyens et faibles de la Nectine-4 à l’instar des cancers de l’ovaire, de la tête, du cou et du poumon. Le financement qu’elle vient d’obtenir lui permet d’entrer en phase préclinique réglementaire pour de premiers essais sur les patients prévus en 2023. En parallèle, la société biopharmaceutique qui emploie une dizaine de personnes entend développer un pipeline d’autres candidats médicaments ADC.

LEYFA MEASUREMENT, SPÉCIALISTE EN MESURES ET ÉTUDES DE TRACÉ FERROVIAIRE, REJOINT SNCF RÉSEAU

Lire le communiqué de Presse de SNCF Réseau ici

 

SNCF Réseau a pris le 17 décembre une participation majoritaire de 74,22% au sein du capital de la société Leyfa Measurement, qui devient ainsi sa filiale. La présidence de Leyfa Measurement est confiée à Thomas Joindot, Directeur technique de SNCF Réseau. Alban Leymarie, co-fondateur de Leyfa Measurement, continue d’assurer la direction générale de l’entreprise.

 

L’acquisition de Leyfa Measurement permet à SNCF Réseau de renforcer significativement ses compétences en ingénierie de mesures ainsi qu’en études de conception de tracés ferroviaires et de géométrie de voies. Au-delà, l’intégration de cette entité va simplifier la préparation et le déroulement des grands chantiers de renouvellement et de maintenance du réseau tout en permettant d’optimiser les coûts de production et d’améliorer la qualité de service apportée aux clients. Leyla Measurement constitue donc, pour SNCF Réseau, un atout précieux au service d’une ambition toujours plus grande en matière de régénération et de modernisation du réseau ferré national.

 

Leyfa Measurement était jusqu’à présent un partenaire privilégié de SNCF Réseau et réalisait l’essentiel de son activité au service du gestionnaire d’infrastructure ferroviaire, à travers :

 

  • la réalisation de mesures de géométrie et d’études de courbes,
  • l’analyse de la qualité globale de la voie,
  • la réalisation d’études de rectification de tracé,
  • le suivi des opérations de

 

Leyfa Measurement assure par ailleurs la conception de systèmes et d’engins de mesure des paramètres de géométrie de voie. Il s’agit, en France, de la seule société concevant des lorrys de mesure de géométrie. L’entité continuera d’intervenir hors du groupe SNCF, pour le compte d’acteurs de la mobilité en France et à l’international (réseaux de tramways, trains touristiques, etc.).

 

 

Thomas Joindot, Président de Leyfa Measurement, a déclaré : « Créée en 2011, labellisée « Jeune Entreprise Innovante », Leyfa Measurement a répondu depuis ses débuts aux enjeux complexes du secteur ferroviaire en matière de mesure du tracé et du dressage des voies. Ses solutions techniques de pointe, ainsi que les hautes compétences de ses équipes, constituent des ressources-clés dans le cadre de la stratégie industrielle de SNCF Réseau ».

 

À propos de SNCF Réseau

 

Pour répondre aux besoins croissants de mobilité et développer le mode ferroviaire au service de la transition écologique, SNCF Réseau développe l’offre de service pour le fret et le marché voyageurs sur les 28 000 kilomètres de ligne dont il assure l’entretien, la modernisation et la sécurité. Gestionnaire du réseau, il commercialise et garantit l’accès neutre et équitable à l’infrastructure. Partenaire des pouvoirs publics, des territoires et des entreprises ferroviaires, SNCF Réseau a pour priorité absolue la satisfaction de ses clients. L’entreprise compte 53 000 collaborateurs pour un chiffre d’affaires de près de 5,9 milliards d’euros en 2020.

Biogen et TheraPanacea annoncent une nouvelle collaboration

Lire le communiqué de presse. 

 

Biogen et TheraPanacea annoncent une nouvelle collaboration susceptible de faire progresser la santé numérique pour la médecine personnalisée en neurosciences.

 

La collaboration vise à développer des solutions innovantes d’apprentissage automatique et d’intelligence artificielle pour un traitement personnalisé et plus précoce en neurologie.
Biogen obtiendra les droits exclusifs de la technologie TheraPanacea en neurosciences.

 

CAMBRIDGE, Mass. et PARIS, 14 déc. 2021 (GLOBE NEWSWIRE) — Biogen Inc. (Nasdaq : BIIB) et TheraPanacea ont annoncé avoir conclu une collaboration axée sur plusieurs domaines thérapeutiques en neurosciences, afin de renforcer la relation existante entre les sociétés. L’objectif est de tirer parti de l’apprentissage automatique (ML) et de l’analyse de l’intelligence artificielle (AI) pour développer des solutions de santé numérique susceptibles d’améliorer les soins aux patients, d’accélérer le développement de médicaments et d’approfondir la compréhension des pathologies sous-jacentes des maladies neurologiques.

 

« Nous pensons que les neurosciences sont à un point d’inflexion pour l’innovation et la percée. Les progrès technologiques peuvent accroître notre capacité à comprendre les maladies, à cibler les traitements et à gérer les risques « , a déclaré Martin Dubuc, responsable de la santé numérique de Biogen. « Sur la base des résultats de notre travail antérieur avec TheraPanacea et de leur succès avec l’IA en oncologie, nous sommes ravis de poursuivre cette collaboration. Nous pensons que les solutions de santé numérique nous permettront d’ouvrir la voie à une nouvelle ère de médecine personnalisée, fondée sur l’accessibilité et la précision. »

 

En exploitant le ML et l’IA pour tirer du sens de l’imagerie médicale et d’autres sources de données cliniquement pertinentes, il est possible d’améliorer la compréhension des maladies et de permettre une conception plus personnalisée des essais cliniques. Cela pourrait permettre de raccourcir les cycles de développement des médicaments, de réduire les coûts associés et d’augmenter la probabilité de succès. Dans le même temps, ces solutions de santé numérique ont le potentiel de soutenir des décisions cliniques plus éclairées et pourraient conduire à de meilleurs résultats de santé pour les patients.

 

« Nous sommes ravis de collaborer avec Biogen et de combiner nos solutions ML et AI avec leur expertise clinique de classe mondiale et leurs ensembles de données uniques en neurosciences », a déclaré le professeur Nikos Paragios, directeur général de TheraPanacea et professeur émérite de mathématiques à CentraleSupélec, Université Paris-Saclay. « Grâce à cette collaboration, nous visons à mettre à l’échelle notre plateforme de découverte de biomarqueurs multi-omiques à intelligence artificielle et à déployer des solutions cliniques qui ont le potentiel de fournir de meilleures décisions de traitement pour les patients vivant avec des maladies neurologiques. »

 

Selon les termes de l’accord, Biogen investira jusqu’à 15 millions de dollars en échange d’une dette convertible de TheraPanacea. L’accord prévoit également jusqu’à environ 41 millions de dollars (sur la base des taux de change actuels) de paiements d’étape en fonction de la réalisation de certaines étapes de recherche et de développement. En outre, Biogen obtient les droits exclusifs sur la technologie de TheraPanacea dans le domaine des neurosciences. Pour atteindre les objectifs de cette collaboration, TheraPanacea investira dans l’expansion de ses opérations et de son personnel en Europe.

 

À propos de Biogen

 

Pionnier dans le domaine des neurosciences, Biogen découvre, développe et fournit dans le monde entier des thérapies innovantes pour les personnes atteintes de maladies neurologiques graves ainsi que pour les adjacences thérapeutiques connexes. L’une des premières entreprises mondiales de biotechnologie, Biogen a été fondée en 1978 par Charles Weissmann, Heinz Schaller, Sir Kenneth Murray et les lauréats du prix Nobel Walter Gilbert et Phillip Sharp. Aujourd’hui, Biogen possède le premier portefeuille de médicaments pour le traitement de la sclérose en plaques, a introduit le premier traitement approuvé pour l’amyotrophie spinale et fournit le premier et le seul traitement approuvé pour traiter une pathologie déterminante de la maladie d’Alzheimer. Biogen commercialise également des biosimilaires et se concentre sur l’avancement du pipeline le plus diversifié de l’industrie dans le domaine des neurosciences, qui transformera la norme de soins pour les patients dans plusieurs domaines où les besoins sont fortement insatisfaits.

En 2020, Biogen a lancé une initiative audacieuse de 20 ans et 250 millions de dollars pour répondre aux problèmes profondément liés du climat, de la santé et de l’équité. Healthy Climate, Healthy Lives™ vise à éliminer les combustibles fossiles dans l’ensemble des activités de l’entreprise, à établir des collaborations avec des institutions de renom afin de faire progresser la science pour améliorer les résultats en matière de santé humaine, et à soutenir les communautés mal desservies.

Nous publions régulièrement des informations qui peuvent être importantes pour les investisseurs sur notre site Web à l’adresse www.biogen.com. Suivez-nous sur les médias sociaux – Twitter, LinkedIn, Facebook, YouTube.

 

Safe Harbor de Biogen

 

Le présent communiqué de presse contient des déclarations prospectives, y compris des déclarations faites conformément aux dispositions de la sphère de sécurité du Private Securities Litigation Reform Act de 1995, concernant l’impact potentiel de l’apprentissage automatique/intelligence artificielle sur les résultats cliniques et sanitaires, les avantages potentiels de l’identification précoce des maladies, les avantages et résultats potentiels de notre collaboration avec TheraPanacea, le potentiel de notre activité commerciale et de nos programmes en cours de développement, ainsi que notre stratégie et nos plans. Ces déclarations peuvent être identifiées par des mots tels que « objectif », « anticiper », « croire », « pourrait », « estimer », « s’attendre », « prévoir », « but », « avoir l’intention », « peut », « planifier », « possible », « potentiel », « sera », « ferait » et d’autres mots et termes de signification similaire. Vous ne devez pas accorder une confiance excessive à ces déclarations, ni aux données scientifiques présentées.

 

Ces déclarations impliquent des risques et des incertitudes susceptibles d’entraîner une différence significative entre les résultats réels et ceux reflétés dans ces déclarations, y compris, mais sans s’y limiter, les risques de coûts ou de retards inattendus ; le risque d’autres obstacles inattendus ; l’incapacité à protéger et à faire respecter nos données, notre propriété intellectuelle et nos autres droits de propriété et les incertitudes liées aux réclamations et aux défis en matière de propriété intellectuelle ; les autorités réglementaires peuvent exiger des informations supplémentaires ou des études complémentaires ; les risques liés à la collaboration avec des tiers ; et les impacts directs et indirects de la pandémie actuelle de COVID-19 sur nos activités, nos résultats d’exploitation et notre situation financière. Ce qui précède énonce un grand nombre, mais pas la totalité, des facteurs qui pourraient faire en sorte que les résultats réels diffèrent de nos attentes dans toute déclaration prospective. Les investisseurs doivent tenir compte de cette mise en garde ainsi que des facteurs de risque identifiés dans notre dernier rapport annuel ou trimestriel et dans d’autres rapports que nous avons déposés auprès de la U.S. Securities and Exchange Commission. Ces déclarations sont fondées sur nos convictions et nos attentes actuelles et ne sont valables qu’à la date du présent communiqué de presse. Nous ne nous engageons pas à mettre à jour publiquement les déclarations prospectives, que ce soit à la suite de nouvelles informations, de développements futurs ou autres.

 

À propos de TheraPanacea

 

TheraPanacea est une société de technologie de l’information très innovante qui se consacre à libérer le pouvoir illimité des solutions basées sur l’IA pour stimuler l’innovation dans les soins de santé.

 

Spinoff de l’Université Paris-Saclay, TheraPanacea travaille en étroite collaboration avec les établissements de santé les plus importants pour combiner la puissance de ses plateformes propriétaires avec la connaissance du domaine clinique. Notre technologie est une combinaison unique de logiciels d’intelligence artificielle axés sur la décision, la contrainte de domaine et les données. Elle fournit aux cliniciens et aux professionnels de la santé les outils les plus innovants pour améliorer la sélection, la planification, la mise en œuvre et les résultats des traitements, y compris la découverte de biomarqueurs et la stratification des patients.

 

En utilisant les solutions cliniques alimentées par l’IA de TheraPanacea (ART-Plan™), les prestataires de soins de santé enregistrent un gain de productivité important, une plus grande normalisation des soins, une amélioration du flux de travail clinique et de meilleurs résultats de traitement pour les patients atteints de cancer. La plateforme de découverte de biomarqueurs alimentée par l’IA de TheraPanacea (ART-Omics™) offre une innovation en amont/aval aux entreprises pharmaceutiques grâce à des cycles de développement plus courts, une diminution des coûts et une plus grande efficacité.

 

Le développement de TheraPanacea a bénéficié des écosystèmes de l’Université Paris Saclay et de Paris Biotech Santé tout en étant soutenu par Therinvest, (fonds de croissance indépendant d’Innothera dans le domaine de la santé numérique) et des financements compétitifs de la SATT Paris-Saclay, du ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, de la Banque publique d’investissement (BPI), du Conseil européen de la recherche (ERC) et de l’accélérateur EIC du Conseil européen de l’innovation.

Human & Work entame une nouvelle étape de son développement pour construire le leader européen de l’Humain au travail

  • 74 dirigeant.es et salarié.es de Human & Work, issu.es de l’ensemble des marques, pays et métiers du groupe, ont décidé d’en devenir actionnaires et d’unir leur destin pour bâtir, d’ici à 2025, le leader européen de l’Humain au travail.

 

  • Soutenus par le pool d’investisseurs du groupe, GENEO Capital Entrepreneur, Bpifrance et NCI, qui renouvèlent par la même occasion leur confiance en l’avenir de Human & Work, les dirigeant.es et salarié.es actionnaires contrôlent désormais 69,2% du capital du groupe.

 

  • A l’occasion de cette opération, le groupe aujourd’hui présent en France, en Italie et en Espagne présente un nouveau projet d’entreprise pour les 4 prochaines années. Illustrée par la promesse « Care for people first », l’ambition de ce projet est de faire de Human & Work la marque de référence du conseil aux DRH en Europe d’ici à 2025.

 

Le nouveau projet d’entreprise de Human & Work va permettre au groupe de relever trois défis :

 

  • Renforcer ce qui fait l’ADN du groupe : son expertise unique de l’Humain au travail, son ancrage scientifique et la qualité de l’expérience proposée à ses clients ;

 

  • Consolider son leadership européen en santé psychologique au travail, répondre aux besoins croissants des entreprises en matière de diversité et inclusion, approfondir son accompagnement des dirigeants dans leurs carrières et leurs missions de transformation des organisations ;

 

  • Devenir le partenaire de référence des grandes entreprises européennes et multinationales, grâce à la digitalisation des activités du groupe, à son développement à l’international et à son ambitieuse stratégie d’impact social.

 

David Mahé, Président-Fondateur de Human & Work, commente : « Le succès de cette séquence que nous venons de clore constitue à la fois une immense fierté et une grande responsabilité.

Une immense fierté, car cet engouement illustre la forte adhésion à notre ambitieux projet entrepreneurial, de nos équipes passionnées par leur métier : celui de devenir désormais, au-delà du regroupement de cabinets leaders et experts sur leurs métiers, le groupe de conseil en ressources humaines, global et leader, capable de répondre à l’ensemble des problématiques liées à la transformation du travail et à la place de l’Humain au travail, en France et dans le monde.

Une immense responsabilité aussi, car plus de 1.000 entreprises et leurs 8 millions de salariés comptent sur nous pour mettre en œuvre notre promesse : Care for people first. 

Je souhaite également remercier de leur confiance nos partenaires bancaires et notre pool d’investisseurs, GENEO, Bpifrance et NCI, qui ont décidé de continuer à investir à nos côtés pour soutenir notre développement. »

 

 

François Picarle, Directeur associé de GENEO, ajoute : « Nous sommes fiers d’accompagner Human & Work dans son développement depuis 2019. Nous partageons des valeurs fortes, notamment sur les enjeux RSE, qui correspondent à la raison d’être de GENEO et sont au cœur de nos interventions. Le Carnet de croissance que nous avons défini a permis au groupe de réaliser des progrès significatifs et de franchir un cap, notamment en matière de parité et d’actionnariat salarié. Nous sommes très fiers de voir que Human & Work partage avec ses équipes les fruits de sa croissance en les intégrant dans son développement. Nous, investisseurs, jouons pleinement notre rôle quand le capital se transmet à ceux qui participent au quotidien au succès de l’entreprise. Pour toutes ces raisons, GENEO se réjouit d’être aux côtés de Human & Work pour les années à venir. »

 

 

Les conseils de Human & Work pour cette opération

 

Avocats : Joffe et Associés – Romain Soiron, Aymeric Degremont, Paddy Pascot

Conseil M&A : G2 Invest – Guillaume Somekh

Investisseurs : Geneo – François Picarle, Bpifrance – Fabrice Lemarchand, NCI – Anne-Cécile Guitton

Financement : Banque Populaire Rives de Paris – Eric Beasse, Caisse d’Epargne Ile-de-France –Maxime Moysan, Société Générale – Delphine Kaptan

 

 

À propos de Human & Work

 

Fondé en 2016, Human & Work est le premier groupe de conseil européen dédié à l’Humain au travail. À travers les 3 cabinets qui le composent : Stimulus, dédié à la santé psychologique au travail, Nexmove, référence du management de carrière des dirigeants, et Équilibres, pionnier de l’inclusion professionnelle, le groupe met le facteur humain au centre de son accompagnement.

Human & Work réunit en France, en Italie et en Espagne 200 collaborateurs experts du bien-être au travail, de l’évolution professionnelle, de l’égalité, de l’éthique et des transformations du travail.

Human & Work déploie sa passion et son engagement auprès de plus de mille entreprises européennes et de leurs huit millions de collaborateurs pour construire un monde du travail inclusif, responsable et serein.

Site internet : https://humanandwork.com/

 

Contacts Presse – Cabinet Enderby

 

Mathias Carteron – 06 68 27 83 46 – mca@enderby.agency

Marie Grillet – 06 45 42 91 00 – mgr@enderby.agency

Uavia déploie sa technologie au niveau mondial

Article CF NEWS

 

Depuis 2018, et son premier tour de table, le défi pour Uavia consistait à démontrer de l’utilité de sa technologie auprès des industriels (lire ci-dessous). Objectif atteint selon l’éditeur, fournisseur d’une plateforme collaborative de pilotage de drones autonomes et connectés, puisque le groupe Total, dans le cadre d’un programme collaboratif, en a validé l’intérêt pour faciliter et sécuriser le déploiement de drones afin de capter de la donnée sur leurs sites industriels. Sa nouvelle ambition est désormais d’« alimenter les grands intégrateurs système, de continuer à trouver des nouveaux cas d’usage et de passer la main de nos technologies à ces derniers, qui peuvent passer à l’échelle des déploiements pour des grands clients », confie Pierre Vilpoux, Président d’Uavia depuis deux ans. Dans ce cadre, Uavia lève 5 M€ et invite à son capital Innovacom, ainsi que Cattleya Finance, la holding d’investissement de Benjamin & Ariane de Rothschild. Les actionnaires existants, UI Investissement et Bpifrance, intervenant à travers le fonds F3A, qui ont participé au processus de levée de fonds, en profitent pour réinjecter du cash.

 

Modèle économique validé

 

L’un des premiers usages reconnus de la plateforme logicielle est sa capacité à pouvoir opérer des missions à distance. Uavia, qui travaille avec six à sept fabricants de drones, facilite ainsi le pilotage de missions de surveillance, de maintenance, de vérification ou de gestion de crise. « Nous avons validé notre modèle économique. En tant que fournisseur de technologie, nous allons engager des intégrateurs systèmes au niveau mondial, qui vont représenter la technologie sur les marchés, explique le dirigeant. Nos technologies permettent de faire des mesures directement à l’intérieur du drone par notre intelligence embarquée, et d’avoir des visualisations en temps réel, comme pour la recherche de polluants sur des sites industriels. » Uavia veut ainsi offrir à l’utilisateur final, notamment des grands groupes dans les secteurs de l’énergie, de la logistique ou de l’industrie pétrolière et chimique, une interface unifiée et sécurisée, toute la configuration ainsi que le paramétrage des usages se faisant via l’interface logicielle. La société, dont l’effectif passera de 23 à 40 salariés l’année prochaine, fait notamment face sur son marché à un acteur comme le Suisse Autérion.

 

Les intervenants de l’opération

Société cible : UAVIA

Acquéreur ou Investisseur : INNOVACOM , UI INVESTISSEMENT (EX UI GESTION) , BPIFRANCE INVESTISSEMENT , PERSONNE(S) PHYSIQUE(S) , Benjamin de Rothschild , Ariane de Rothschild

Acquéreur Avocat Corporate : JOFFE & ASSOCIES

Société Avocat d’Affaires Corporate : FIDAL , Anne Fréchette-Kerbrat

 

Sea Vorian acquiert Seafin, leader des produits de haute technologie pour l’économie bleue.

Article NEOTEK, publié le 14 décembre 2021

 

La société Sea Vorian, créée par un pool d’investisseurs mené par Jean-Luc Biache et François-Xavier de Cointet, acquiert 100% de Seafin, leader de la distribution et la fabrication de produits de haute technologie pour l’économie bleue, auprès de son fondateur Claude Pacheco, des fonds Atalaya et Financière de Brienne 2 gérés par Ace Capital Partners et du fond SFLD.

 

Fondée en septembre 2004 par Claude Pacheco, Neotek est spécialisée dans la distribution et l’intégration d’équipements d’acquisition de données, d’instrumentation océanographique et hydrographique, de positionnement, de drones et de déminage.

 

RTSys, rachetée en 2012, à l’occasion de l’entrée des fonds Ace Capital Partners s’est imposée dans la conception et de la fabrication de produits d’’acoustique et de robotique sous-marine. Son haut niveau d’expertise est aujourd’hui reconnu dans 4 principaux secteurs d’innovation : la surveillance acoustique passive (PAM), l’exploration sous-marine via des drones sous-marins autonomes (AUV), la lutte anti-mines (MCM) et la lutte anti-sous-marine (ASW).

 

De nombreux programmes de R&D ont été menés en partenariat avec la Direction Générale pour l’Armement, les Pôles Mer de Compétitivité, ou les Fonds européen de Défense, pour concevoir des produits miniaturisés sans compromission ni sur les performances, ni les coûts. Les Energies Marines Renouvelables, l’exploration des grands fonds marins, la lutte anti sous-marine sont autant de secteurs dans lesquels le groupe Seafin revendique aujourd’hui une position de leader.

 

Avec la transmission du groupe à la société Sea Vorian, une nouvelle étape s’ouvre pour le groupe Seafin pour devenir un acteur européen incontesté sur les marchés navals sous-marins civils et de défense.

GitGuardian sécurise deux fonds

Article CF NEWS PAR RODOLPHE LANGLOIS Publié le 7 déc. 2021 à 14:00

 

La dimension internationale de GitGuardian devrait encore grandir d’ici les prochains mois. Né en 2017, cet éditeur d’une solution de détection automatisée des secrets hébergés dans le cloud génère, depuis sa première levée de fonds en 2019, 75 % de ses revenus aux États-Unis, demeurés confidentiels (lire ci-dessous). La société, co-fondée par Jérémy Thomas et déjà sponsorisée notamment par Balderton Capital, Bpifrance et l’allemand Fly Ventures, s’ouvre en effet, en direct, à Eurazeo et au VC californien Sapphire Ventures lors de sa série B, dont le montant atteint un peu plus de 39 M€ (44 M$). Aux côtés de ces deux investisseurs, également déjà réunis lors du troisième tour d’Andjaro l’an passé (lire ci-dessous), plusieurs des actionnaires historiques en profitent pour se renforcer. Ensemble, ils valorisent l’éditeur francilien un peu plus de 156 M€ (177 M$), soit trois fois plus qu’il y a deux ans. « L’ensemble du processus a été rapide, évoque Jérémy Thomas, puisque nous avons mis d’un mois avant d’obtenir notre première term sheet. Par la suite, nous avons dû refuser les propositions de cinq fonds d’investissement. »

 

Une première antenne outre-Atlantique

 

Au sein du marché de la sécurité du code source, qui devrait atteindre entre 50 et 100 Md$ d’ici 2025, GitGuardian évolue sur une verticale de niche, le DevSecOps, estimé à 10 Md$, soit la détection et l’identification automatisées de fuites de données sensibles d’authentification, traitées quotidiennement par les développeurs. Parmi ses clients internationaux figurent notamment Talend, Mirantis, Instacart, Genesys, Now:Pensions ou encore Maven Wave, « qui ont dépensé en moyenne 140 K$ cette année, ajoute le dirigeant. Nous sommes la première application de sécurité du code source sur GitHub en terme de et d’installation, avec 130 000 téléchargements. » La société, qui salarie 60 collaborateurs, veut profiter de son enveloppe pour ajouter d’autres types de vulnérabilité, et ainsi aller sur des verticales adjacentes, d’ici 2022, qui forment un marché « très fragmenté », sur lequel évolue notamment la start-up israélienne Checkmarx. GitGuardian devrait également ouvrir, l’an prochain, une première antenne à l’étranger, avec la création d’un bureau au Texas, piloté par Jérémy Thomas. L’éditeur pourrait par ailleurs lancer une campagne de recrutements d’une centaine de personnes d’ici 2022.