Mesure de l’air : la start-up eLichens accueille le japonais New Cosmos Electric à son capital

Une belle opportunité économique se présente pour la start-up grenobloise eLichens, qui conçoit des capteurs digitaux d’air haut de gamme et des logiciels de numérisation de l’environnement. Elle annonce cette semaine l’entrée à son capital de New Cosmos Electric, une entreprise japonaise spécialisée dans la conception et la vente de détecteurs de gaz. Cotée au Tokyo Stock Exchange, la société nippone va prendre une participation minoritaire d’environ 10 M$ au capital d’eLichens. Cette entrée dans l’actionnariat va aussi lui permettre d’intégrer les capteurs de la start-up dans ses nouveaux détecteurs à gaz. Du côté d’eLichens, ce deal lui ouvre davantage le marché japonais avec la possibilité d’y distribuer sa station de mesure « Aura CO2 ». Ce qui constitue pour elle un nouveau pas vers le marché international. Entre 2016 et 2018, la start-up a amassé en tout 12 M€ auprès de plusieurs investisseurs : Sofimac Innovation, Emertec Gestion, la société Aereco, Bpifrance (via le fonds Ville de Demain) et BNP Paribas Développement et quelques business angels.

Bpifrance poursuit son accompagnement auprès du Groupe ITFACTO aux côtés de CEIDF Capital Investissement et Sopromec Participations

Paris, le 12 mai 2022 – Les investisseurs historiques Bpifrance, CEIDF Capital Investissement et Sopromec Participations poursuivent leur accompagnement auprès du Groupe ITFACTO, spécialiste dans l’externalisation de programme Media, Marketing et Communication en environnement B2B. Cette opération de LBO permettra à l’entreprise d’associer des cadres au projet en poursuivant la dynamique de croissance externe.

 

 

Créée en 2003, ITFACTO est une société française spécialisée dans l’externalisation de programme Media, Marketing et Communication en environnement B2B. Elle réalise des opérations marketing B2B pour le compte d’environ 400 clients parmi lesquels IBM, Microsoft ou encore Oracle et Dell.

Après les acquisitions en 2014 et 2016 des sociétés Newslead et Odeo, également acteurs des services Marketing en B2B, ITFACTO est devenu l’actionnaire majoritaire en 2018 de IT News Info, groupe de presse leader du secteur des technologies, dont le modèle économique est également basé sur les services marketing B2B.

Depuis 2018, le Groupe a réalisé trois nouvelles croissances externes : la plateforme de l’écosystème startups en France Myfrenchstartup, Le Moniteur du Commerce International (Le MOCI) et l’agence de communication ND Conseil, qui lui ont permis d’accélérer sa croissance et de diversifier ses activités. Ainsi, le groupe est passé de 4 à 13 millions d’euros de chiffre d’affaires et compte aujourd’hui 154 salariés contre 92 en 2018.

 

Nicolas Beaumont, dirigeant du Groupe ITFACTO : « Nous avons découvert depuis 2018 une équipe extrêmement professionnelle, proche des enjeux de notre entreprise, complémentaire et disponible. Notre développement est significativement lié à l’équipe que nous formons avec notre groupe d’investisseurs et nos conseils et il était évident pour nous de renouveler et d’approfondir notre structuration financière avec ce même groupe. »

Axel Piriou, Directeur de participations chez Bpifrance, ajoute : « Nous sommes impressionnés par la trajectoire de croissance du Groupe depuis 2018, que nous avons accompagné notamment au travers notre programme d’Accélérateur PME 5. Grâce à la confiance renouvelée de Nicolas Beaumont et ses équipes, nous espérons que cette opération permettra d’associer de nouveaux cadres au projet dans une dynamique de développement et de diversification toujours soutenue.»

Guillaume Guin, investisseur chez CEIDF Capital Investissement, précise : « Nous sommes très heureux de nous associer à ce projet de croissance enthousiasmant porté par un dirigeant remarquable qui a su fédérer autour de lui une équipe de grande qualité. »

 

INTERVENANTS DE L’OPERATION

 

Investisseurs

  • Bpifrance Investissement : Axel Piriou, Tiphaine Gonnet
  • Caisse d’Epargne Île de France Capital Investissement : Guillaume Guin
  • Sopromec Participations : Stéphane Roy, Stéphane Taunay
Dette Senior
  • Banque Populaire Rives de Paris (arrangeur) : Aude El Gemayel, Celian Dequesne, Chekib Bensalah
  • Caisse d’Epargne Île de France : Antoine Di-Folco
Conseils
  • Conseil juridique Investisseurs : Joffe & Associés – Virginie Belle, Romain Soiron, Paddy Pascot
  • Conseil Dette & Financement : Le Comptoir Financier – M. Damien Mina
  • Conseil juridique Société : Placktor Avocats – Olivier Placktor
  • Conseil DD Financière : Cofigex – Jean-Charles Norris, Agathe Leclerc

Mobsuccess acquiert Vectaury, pionnier du drive to store

Après plusieurs semaines de négociation, la société Mobsuccess est ravie d’annoncer l’acquisition de Vectaury, pionnier français du drive to store

Créé il y a près de 10 ans Vectaury est en effet à l’origine de l’une des toutes premières plateformes du marché français, opérant sur ce segment.

 

L’alliance de l’intelligence technologique et humaine

 

Sur le plan commercial, ce rapprochement permet de capitaliser sur les expertises et technologies complémentaires des deux partenaires pour proposer aux enseignes une offre aussi puissante que complète.

La Data Management Platform (DMP) de Vectaury , ses 20 millions de profils uniques et ses algorithmes propriétaires  pour le calcul des zones de chalandises permettant un ciblage précis des audiences, viendront compléter la plate-forme de Mobsuccess..

Au delà des complémentarités technologiques et commerciales, ce rapprochement avec Vectaury permet à Mobsuccess de compter désormais près d’une centaine d’experts dans des domaines tels que le le media trading, le géomarketing, la data science, la création graphique, capables d’accompagner les annonceurs à chaque étape de leur campagne.

 

Un leader sur le marché français

 

« Vectaury a réalisé un travail fantastique d’évangélisation et de démocratisation du drive to store en France. Cette opération nous permet désormais de revendiquer le statut de leader du marché” commente Thomas Fagot, CEO et fondateur de Mobsuccess.

“Nous croyons depuis longtemps à un développement accéléré du marketing local bien au-delà du retail basé sur de la donnée intelligente. Nous avons été séduits par l’approche de Mobsuccess et sa capacité à se déployer de façon rentable avec des ambitions internationales. Nous sommes ravis d’accompagner Mobsuccess dans sa stratégie de croissance.” déclare Guillaume Girard, Managing Partner chez Jolt Capital, investisseur depuis 2018 chez Vectaury, et qui entre ainsi au capital de Mobsuccess.

 

Cashbee aiguille l’épargne des particuliers vers le placement qui leur correspond

Article Madyness à lire ici : https://www.maddyness.com/2022/05/04/cashbee-aiguille-epargne-particuliers-vers-meilleur-placement/

 

Communiqué de presse de Cashbee à lire ici : CP_Cashbee_Levée de fonds_040522

 

Et de deux. Cashbee signe, mercredi 4 mai 2022, une nouvelle levée de fonds à hauteur de 5,5 millions d’euros. La FinTech, qui a reçu l’appui de La Banque Postale, My Money Group et de business angels, utilisera cette somme pour « accélérer le développement de son application d’épargne tout-en-un et responsable » . Celle qui donne accès à une grande diversité de placements met l’accent sur l’expérience client, afin de séduire un public aussi large que possible. Trois ans après son lancement, la startup affirme que l’encours qui lui a été confié par ses utilisateurs – dont elle ne communique pas le nombre exact – s’élève à 140 millions d’euros et juge que ça fait d’elle « le référent de l’épargne mobile en France ».

 

Gagner en notoriété via des partenariats

 

Cashbee, qui avait levé 1,1 million d’euros lors de son amorçage en 2019, a mis sur pied un livret rémunéré figurant selon ses dires « parmi les plus performants du marché » – le taux d’intérêt est de 2 % les trois premiers mois, puis 0,6 % par mois ensuite d’après son site. Au-delà de ce livret somme toute classique, les utilisateurs de l’application mobile ont la possibilité de déposer de l’argent sur une assurance-vie en gestion pilotée, mais aussi de l’immobilier ou des fonds d’investissement socialement responsable (ISR). Cashbee dit « faire en sorte à ce que le niveau de risque s’adapte au profil » de chacun des utilisateurs. Gratuit, l’outil embarque un algorithme qui génère des recommandations individualisées.

 

La jeune pousse, dont l’application est disponible sur Android et iOS, indique « rémunérer l’épargne des communautés de licornes comme Qonto et Lydia » . Elle a, d’ailleurs, fait de la signature de partenariats de ce type l’un de ses axes stratégiques dans le but d’asseoir sa notoriété. Assurant que l’ouverture d’un compte ne demande pas plus de six minutes, elle soutient que cette rapidité d’exécution est l’un de ses points forts face aux banques traditionnelles – dont la lourdeur administrative est souvent pointée du doigt. Le tout, en conservant le même niveau de sécurité : son service est agréé par l’Autorité de contrôle prudentiel et de résolution (ACPR) de la Banque de France et les sommes déposées par les utilisateurs sont hébergées chez le Français My Money Bank. Ce qui les couvre par le Fonds de garantie des dépôts et résolutions à hauteur de 100 000 euros, en cas de pépin.

 

À noter que le fait que la startup fasse partie de Platform58, l’incubateur de La Banque Postale, a joué un rôle dans l’investissement de cette dernière. « Cela revêt un sens particulier pour nous. Nous sommes convaincus de la pertinence de son offre, qui rend l’épargne plus simple et accessible, dans la lignée de notre engagement citoyen » , a commenté par voie de communiqué Olivier Lévy-Barouch, directeur général adjoint de La Banque Postale chargé de la direction Finance et stratégie, ajoutant être « confiant sur la capacité de l’équipe à accélérer son développement en France et en Europe » . Cashbee devrait donc prochainement sortir le chantier de son internationalisation des cartons.

Nannybag réserve un espace à la filiale d’un groupe public

 

 

Nannybag fait partie des start-up touchées de plein fouet par le Covid-19. Service en ligne de consignes à bagages dans les commerces, elle a subi à la fois la fermeture des boutiques et des hôtels et le coup d’arrêt du tourisme. « Même si nous avons rapidement réduit notre effectif et nos coûts, nous continuions à brûler du cash. Une option était de relever auprès des fonds mais sur une valorisation réduite et donc en nous diluant fortement, ce qui n’est pas très motivant. Nous avons opté pour l’option d’un rapprochement avec un industriel », raconte Matthieu Ballester, co-fondateur avec Samir Senouci. Cet industriel est Pickup, filiale de GeoPost (La Poste) et opérateur d’un réseau de points relais. Il rachète 49 % du capital, faisant sortir complètement les financiers Fa Dièse, le luxembourgeois Expon Capital et les 25 business angels dont Jean-Romain Lhomme (ex Colony Capital), Olivier Lebel (ex Croix-Rouge française et Médecins du Monde), Christian Veigneau (ex LeGuide.com), Fabienne et Jean-Marie Rétif (ex Billetreduc.com), Géraldine Le Meur (FrenchFounders) et Quentin Chidaine (RBC Capital Markets). Les investisseurs avaient souscrit à une augmentation de capital d’1,3 M€ en octobre 2019 (lire ci-dessous).

 

Nannybag suit les pas d’Eelway 

Les deux dirigeants vendent une partie de leurs actions mais restent donc tout juste majoritaires. Le rachat du solde n’est pas envisagé, selon Matthieu Ballester, le groupe public s’engageant à ce stade à financer la jeune pousse sous forme de prêt à taux zéro. Il s’agit pour Pickup/GeoPost d’une deuxième opération dans les services autour des bagages, puisqu’il avait repris en juin 2020 les actifs d’Eelway, proposant de récupérer et de prendre en charge les valises de voyageurs puis de leur apporter à l’aéroport par exemple. Malgré deux tours auprès de business angels et de Bpifrance, Axeleo, NCI et Nomandie Participations, l’entreprise normande avait fait faillite en janvier 2020 (lire ci-dessous). C’est d’ailleurs l’un des fondateur d’Eelway qui a conseillé à celui de Nannybag de solliciter La Poste.

 

Effectifs réduits et fermeture des bureaux de Montréal et Singapour

La pandémie avait contraint le service en ligne de consignes à bagages à réduire drastiquement la voilure, diminuant son effectif de 30 à 6 salariés et fermant ses bureaux à Montréal et Singapour ouverts trois et un mois plus tôt. Après un été 2021 encore inférieur de moitié à l’été 2019 en chiffre d’affaires, le retour à la situation pré Covid n’eut lieu qu’il y a deux mois. Le réseau de Nannybag s’étend aujourd’hui sur 500 villes et 10 000 commerçants et hôtels et l’activité bénéficie de partenariats, par exemple de mise en avant, avec la compagnie aérienne portugaise TAP, Carrefour et Airbnb. Le stockage génère 80 % des revenus de la start-up, qui facture 6 € par bagage et par jour, prélevant une commission de 50 %. Son principal concurrent, l’italien Radical Storage, est un euro moins cher mais ne propose pas de système de scellé contrairement au français.

 

3 000 commerçants du réseau Pickup s’ajoutent aux 10 000 de Nannybag

Le reste du chiffre d’affaires vient d’une offre de transport de bagages sous-traitée. En se rapprochant de La Poste, Nannybag compte ajouter un troisième service de récupération des bagages dans les hôtels parisiens par les coursiers à vélo de Stuart, filiale du groupe public. Des bagages ensuite regroupés puis transportés à l’aéroport par camion. Le lancement de ce nouveau service ne devrait pas avoir lieu avant l’été 2023. En attendant, les synergies entre Pickup et sa filiale à 49 % ne se manifesteront pas tout de suite non plus puisque 3 000 des 16 000 commerçants de son réseau proposeront l’offre de bagagerie d’ici un an, diversifiant leur activité au-delà de la réception de colis.

 

Les intervenants de l’opération

 

ForePaaS s’unit à un poids lourd français de la tech

Gadsme a levé 8 millions de dollars en tour de table

Article par Gadsme, le 8 avril 2022

 

Gadsme, la seule plate-forme AdTech interactive qui offre des expériences de marque immersives de haute qualité grâce à la publicité dans le jeu, a obtenu un investissement initial de 8 millions de dollars seulement 11 mois après son lancement. Avec des investisseurs tels que Galaxy Interactive et Ubisoft , Gadsme utilisera le financement pour structurer et investir dans des personnes clés afin de faire évoluer l’entreprise pour répondre à la demande.

Avec Gadsme, les annonces immersives sont désormais diffusées de manière dynamique et ses capacités techniques uniques permettent, pour la première fois, de véritables campagnes de performance qui profitent à tous les annonceurs, sur toutes les plateformes.

Avec plus de 3 milliards de joueurs dans le monde, chacun jouant à ses jeux préférés pendant de nombreuses heures, des milliards d’impressions publicitaires sont désormais disponibles. Contrairement à l’affichage vidéo plein écran ou aux formats d’annonces interstitielles, qui peuvent interrompre l’expérience de jeu, Gadsme se concentre sur des formats d’annonces non intrusifs qui sont mélangés, immergés et natifs du gameplay.

Ces formats publicitaires s’appliquent à tous les genres de jeux, à tous les appareils et à toutes les zones géographiques, et sont particulièrement recherchés par les annonceurs de marque, qui exigent des environnements de marque garantis par Gadsme et des capacités de ciblage conformes à la confidentialité.


Gadsme a été créé en 2019 par les experts des médias numériques Guillaume Monteux et Luc Vauvillier, dont l’ancienne société miLibris a été vendue au groupe Altice. La trinité de l’équipe fondatrice est l’ancien vice-président du développement d’entreprise d’AppLovin, Simon Spaull, qui a joué un rôle important dans la croissance monumentale d’AppLovin.

Cet investissement d’amorçage a été construit de manière stratégique et sélective à partir d’un pool d’experts du jeu et du numérique qui croient en la vision de Gadsme, et qui apportent également une riche expérience et une expertise ciblée pour développer davantage le produit et l’expérience client. Pour Ubisoft, ils ont d’abord commencé à travailler avec Gadsme avant de garantir un investissement stratégique dans l’entreprise, confirmant la qualité du marché de la plate-forme de Gadsme et l’opportunité que le secteur présente. Le marché du jeu a récemment été évalué à 134 milliards de dollars, faisant des jeux le nouveau média de prédilection des marques.

« Pendant plus de 2 ans, nous, les trois co-fondateurs, avons lancé l’entreprise pour créer la solution de publicités immersives la plus avancée sur le plan technique. Lorsque certaines des meilleures sociétés de jeux vidéo au monde ont convenu, nous savions que nous étions prêts à lever des fonds pour nous développer. Pour notre tour de table, nous voulions trouver des partenaires qui pourraient apporter de vastes connaissances et une expertise dans notre entreprise. Pas seulement fournir des capitaux, mais de véritables expériences et apprentissages dans l’industrie exacte dans laquelle nous opérons. Avec Galaxy Interactive, aux côtés d’autres fondateurs de grandes sociétés de jeux en tant qu’actionnaires, nous sommes maintenant prêts et prêts à mettre en œuvre notre vision. »

a déclaré Guillaume Monteux, PDG et co-fondateur.

Le résultat de leur coopération est Gadsme : construit, testé et retravaillé dans un produit de base innovant qui est fondé sur une technologie de pointe et qui bénéficie désormais d’un soutien inégalé de l’industrie avec des investissements de plusieurs millions de dollars de la part de certains des éditeurs de jeux les plus connus. dans le monde.


Le SDK immersif de Gadsme est déjà intégré dans un certain nombre de studios de jeux haut de gamme, notamment Lion Studios, Ubisoft, Tilting Point, TapNation et Voodoo, offrant à un large public des publicités sécurisées pour la marque et de qualité supérieure.

« Nous avions rencontré diverses entreprises dans l’espace publicitaire du jeu, mais le produit et l’équipe de Gadsme correspondaient vraiment à nos convictions et à notre vision. Guillaume et son équipe s’intègrent naturellement à notre portefeuille de clients, et leur souci du détail, approche unique. , et la vision centrée sur le laser capturent ce que nous pensons être la bonne voie à suivre. Nous sommes enthousiasmés par l’espace et nous sommes impatients d’aider Gadsme dans sa quête pour donner la priorité à l’expérience du joueur en connectant les marques avec des publics passionnés. Ces intersections continueront jouer un rôle important dans cette nouvelle frontière numérique, et nous pensons que l’équipe Gadsme peut avoir un véritable impact »

a déclaré le PDG de Galaxy Interactive, Sam Englebardt.

« Notre technologie multiplateforme a été extrêmement soigneusement conçue pour fournir aux studios un partenariat à long terme afin de générer des revenus supplémentaires continus et nouveaux à partir de leurs jeux. Alors que la publicité dans les jeux est un sujet depuis 20 ans, nous pouvons aujourd’hui voir un clair une opportunité sur le marché de créer quelque chose de vierge et de différent, qui génère des revenus et un engagement mesurable de la marque dans le jeu. »

a déclaré Simon Spaull, CRO et co-fondateur.

Gadsme est la seule entreprise In-Game au monde capable d’exécuter des médias de performance dans les jeux, donnant à toutes les marques l’opportunité unique de mesurer les KPI, tout en attirant un public dans les jardins clos des jeux, mais permet également aux studios de faire de la promotion croisée pour tout autre jeu dans leur portefeuille. C’est tout à fait unique et une nouvelle opportunité commerciale importante pour l’écosystème du jeu. Notre technologie intègre pleinement la publicité de marque dans l’expérience de jeu avec des publicités immersives qui sont dynamiques, ciblées sur le contenu et offrant des expériences positives aux joueurs. Nous sommes ravis de voir comment l’industrie AdTech se développera davantage en 2022 et d’être un acteur clé dans la connexion des studios et des marques.


Le produit de Gadsme offre la même expérience positive de haute qualité aux marques et aux studios. Sa technologie brevetée pour la visibilité des publicités est unique dans l’industrie des jeux, garantissant la transparence et une portée fiable pour les marques, tandis que la combinaison d’une plate-forme intuitive en libre-service et d’une intégration fluide du SDK a assuré une expérience extrêmement positive pour les développeurs. La plate-forme de nouvelle génération de Gadsme a été conçue en interne depuis plus de 2 ans, est prête pour le métaverse et est idéalement placée pour offrir une variété de solutions afin de maximiser les résultats pour les annonceurs et les studios de jeux.

Luc Vauvillier, CTO et Co-Fondateur ajoute :

« Nous savions exactement comment développer notre produit pour assurer la stabilité et le succès. Nous avons entendu parler des nombreux défis techniques auxquels les studios étaient confrontés avec les plateformes publicitaires In-Game auparavant. Dès le départ, notre objectif était de nous assurer que notre produit était stable, fiable et adapté à son objectif. . Notre architecture interne est prête pour toutes les futures opportunités de jeu et de publicité métaverse ».

Gadsme est connu pour son excellence technique, maintenant il se concentre sur la fourniture de rendements imbattables aux sociétés de jeux, ainsi que sur la conduite d’un ROAS supérieur pour les annonceurs.

Zenride roule avec un VC à impact

Article CFNEWS PAR LUCAS DJEFFAL Publié le 28 mars 2022 à 13:51

 

« Bien qu’il soit encore très jeune et assez peu développé, le marché français de la location longue durée avec option d’achat de vélo à un très fort potentiel. À titre de comparaison, l’Allemagne compte 1,5 million de vélos en location », note Olivier Issaly, le nouveau président de Zenride. Présent dans le réseau de dirigeants 50 Partners, ce serial entrepreneur aussi à l’origine de Owlient, studio de jeu vidéo racheté par Ubisoft en 2011 (lire ci-dessous), avait rejoint la société en 2019 en tant que directeur technique. Les fondateurs en 2018, Antoine Repussard et Thomas Beaurain ont quant à eux respectivement la charge de la partie commerciale et marketing. Ambitionnant d’atteindre les chiffres de vente du voisin germanique tout en participant à l’essor de la mobilité décarbonée, l’équipe dirigeante accueille à l’actionnariat des acteurs de l’impact et du transport. Alter Equity, qui a notamment clôturé à 110 M€ son deuxième FPCI dédié au financement des sociétés répondant aux objectifs de développement durable de l’ONU (lire ci-dessous), mène ce tour de 5,6 M€ syndiqué en direct, suivi par RATP Capital Innovation, fonds lancé en 2017 pour soutenir les start-up. Participent aussi Founders Futures et des business angels, présents lors de l’amorçage de 550 K€ en 2020, notamment Christophe Courtain (Flex-O), Cyril Vermeulen (Aliquini), Justin Ziegler (PriceMinister). Par ailleurs, le montant global de l’opération atteint 8 M€, grâce à des prêts de Bpifrance, en cours d’obtention.

 

Plus de 1000 vélos en circulation

Zenride propose aux entreprises de plus de 1 000 personnes, de prendre en charge la grande partie d’une offre comprenant le leasing d’un vélo, son assurance et un service de maintenance. Plus de 1 000 salariés, répartis dans 60 entreprises comme Veolia, Saint-Gobain, Axa ou encore Accor, disposent ainsi d’une monture dont ils payent mensuellement un tiers de la location, soit « autour d’une trentaine d’euros par mois » et ont la possibilité de l’acheter au bout du contrat de trois ans – les prix varient selon la gamme choisie, 80 % des vélos distribués étant par exemple à assistance électrique. La jeune société se fournit auprès d’un réseau de 150 magasins partenaires, comme des Décathlon. La nouvelle opération financera un plan de recrutement devant faire quadrupler l’effectif de dix salariés, principalement à des postes commerciaux. Zenride ambitionne ainsi de multiplier par six le nombre de ventes cette année ; 2,5 M€ de contrats ont été signées l’année dernière.

 

Les intervenants de l’opération

Société cible : ZENRIDE
Acquéreur ou Investisseur : ALTER EQUITY , Félix Mounier , RATP CAPITAL INNOVATION , Stéphanie Bourgeais , FOUNDERS FUTURE , BUSINESS ANGEL(S) , Christophe Courtin , Cyril Vermeulen , Justin Ziegler
Société Avocat d’Affaires Corporate : JOFFE & ASSOCIES , Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz

Atelier de Recherches & de Conceptions ficèle un MBI

Article CF News PAR HOUDA EL BOUDRARI Publié le 14 mars 2022 à 18:16

 

Près de 35 ans après sa création, Atelier de Recherches & de Conceptions (ARC) change de mains en troquant son fondateur Eric Lechevalier contre un ancien dirigeant du pôle Industrie de Capgemini Consulting, Stéphane Houette.

 

Ce MBI est soutenu en minoritaire par Normandie Participations qui intervient en bas de sa fourchette de 500 K€ à 5 M€ dédiée aux opérations de développement/transmission. « Nous avons initié la rencontre entre le cédant et Stéphane Houette qui présentait le meilleur profil pour le développement et la pérennisation de cette pépite de l’industrie locale », se félicite Matthieu Rabeisen, directeur de participations de l’investisseur régional créé par la région Normandie et doté d’une capacité d’intervention de 100 M€.

 

6 M€ de revenus dont la moitié à l’export

 

Basée à Offranville en Seine-Maritime, la société ARC, Atelier de Recherches & de Conceptions conçoit et fabrique des machines et lignes standards ou sur-mesure de ficelage et bottelage essentiellement pour les industriels de la viande, les maraîchers ou les horticulteurs. Créée en 1988 comme bureau d’étude pour le sport automobile, la société normande se spécialise dans la mécanique du nouage en 1989 et rejoint le petit cercle fermé des fabricants de botteleuses. Sur ce marché de niche comptant à peine quelques acteurs au niveau européen, la PME français occupe déjà une place d’acteur significatif avec ses 6 M€ de revenus.

 

Stéphane Houette, Atelier de Recherches et de Conceptions (ARC) : « Ce qui m’a séduit dans l’entreprise c’est sa capacité d’innovation et de répondre au plus près aux besoins spécifiques de ses clients », confie Stéphane Houette, qui a également été conquis par l’aspect éco-responsable des produits d’ARC, considérés comme une alternative à l’emballage plastique. Un positionnement à même de lui permettre de conquérir de nouvelles parts de marchés et d’accélérer son internationalisation déjà bien entamée, avec près de la moitié du chiffre d’affaires réalisé à l’export.

EMP Rotomoulage transforme un MBO

Article CF News par JEAN-PHILIPPE MAS, publié le 17 mars 2022 à 10:51

 

EMP Rotomoulage souhaite augmenter ses capacités de production à l’aide d’un nouveau tour de table actionnariale. En 2018, le fabricant de pièces rotomoulées, un procédé de transformation des matières plastiques, actait l’arrivée de William Digne comme nouveau président pour succéder aux deux fils du fondateur, Cyril et Samuel Delamaire. Ce MBI a permis l’arrivée de plusieurs financiers parmi lesquels Amundi PEF, lead, NCI, Unexo et BNP Paribas Développement détenant la majorité des titres ensemble. Près de quatre ans plus tard, G2 Invest, le conseil financier historique du dirigeant a organisé des enchères autour d’un nombre restreint d’acteurs financiers. Altur Investissement l’a emporté et devient, ainsi, le nouvel actionnaire minoritaire de référence. La société d’investissement cotée participe dans le haut de sa fourchette comprise entre 1 et 5 M€. Cette nouvelle opération permet à William Digne de se reluer dans le but de détenir la majorité des titres. Le pool de financiers est complété par les historiques, BNP Paribas Développement et Unexo qui réinvestissent une partie de leur produit de cession. La dette senior finançant le montage est mise en place par les banques historiques, LCL, CIC Ouest et Crédit Agricole Ile et Vilaine en arrangeurs avec la participation de BNP Paribas et Banque Populaire Grand Ouest.

 

Un nouveau site dans les prochains mois

 

Basé à Dol de Bretagne en Ile-et-Vilaine et employant environ 70 salariés, EMP Rotomoulage intervient dans le développement et la production de pièces rotomoulées sur mesure. Le rythme de fabrication s’élève à plus de 130 000 pièces par an, permettant la transformation de plus de 2 300 tonnes de polyéthylène. Ses produits, 100 % recyclable, sont destinés aux industries de l’agroalimentaire, de l’aménagement, de la rétention et de l’environnement. L’entreprise bretonne a généré, l’an dernier, un chiffre d’affaires de 15 M€ contre 12 M€ au moment de l’entrée d’Amundi PEF, NCI, Unexo et BNP Paribas Développement. « Notre thèse d’investissement repose, principalement, sur la capacité démontrée par William Digne et l’ensemble de l’équipe à développer la société. Pour cela, l’augmentation de la capacité industrielle d’EMP Rotomoulage en cours permettra de développer l’activité avec clients existants tout en renforçant la force commerciale », expose Bertrand Cavalié, directeur d’investissement chez Altur Investissement.