Eres signe l’acquisition de Retraite.com

Eres : retrouvez les informations en détails sur CFNews ici.

 

Eres signe l’acquisition de Retraite.com, société spécialisée dans la retraite proposant en ligne aux épargnants français des informations sur les dispositifs de retraite et les produits d’épargne, des comparatifs et simulateurs de solutions d’épargne ainsi que des bilans retraite en ligne.

 

Joffe & Associés (Aymeric Dégremont, Alexia Guyot, Virginie Davion et Clément Peillet) est intervenu en qualité de conseil des cédants de Retraite.com, dans le cadre de cette opération.

 

Eres, le spécialiste de l’épargne salariale et de l’épargne retraite, renforce sa présence en ligne et de compléter ses canaux numériques, afin de générer d’avantage et leads et de gagner en expérience utilisateurs.

 


 

 

INTERVENANTS DE L’OPERATION

Acquéreur : Eres

Cédant(s) : Ludovic Herschlikovitz et autres

 

CONSEILS

Acquéreur Avocat Corporate : Volt Associes , Hervé Bied-Charreton , Lucas d’Orgeval

Cédant Banquier d’Affaires: PWC Corporate Finance , Antoine Grenier , Adrien d’Alincourt , Quentin Duprez , Raphaël Donadieu

Cédant Avocat : Joffe & Associes , Aymeric Dégremont , Alexia Guyot , Virginie Davion , Clément Peillet

Oligofeed signe un tour de table de 600.000€

Retrouvez l’article original sur le LinkedIn d’Oligofeed ici.

 

Oligofeed, jeune deeptech lyonnaise spécialisée dans la recherche & développement de macronutriments révolutionnaire pour les abeilles, engage une levée de fonds de 600.000€ pour la commercialisation de ses solutions. Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Océane Christmann et Clémence Bressolin) est intervenu en qualité de conseil de l’investisseur The Yield Lab Europe, et EY Ventury Avocats (Julien Tamagno et Margaux Noujarède) est intervenu au coté d’Oligofeed dans le cadre de cette opération.

 

Le déclin des abeilles représente un défi majeur pour la sécurité alimentaire mondiale. Cette disparition est largement attribuée à des facteurs tels que les maladies et le parasite Varroa Destructor, qui contribuent à une surmortalité alarmante de ces pollinisateurs essentiels. Afin de contrer la menace d’extinction pesant sur les abeilles, Oligofeed souhaite développer son micronutriment révolutionnaire, fruit de près de huit années de recherche, dans plus de 5 pays. Ce produit renforce le système immunitaire des abeilles polinisatrices, et permet de réduire leur taux de mortalité jusqu’à 80%.

 

Cette levée de fonds a été souscrite par The Yield Lab Europe et les investisseurs suivants, CCI Capital Croissance, Frédéric Banzet, Jadeplat Limited Liability Company, Frédéric Robert et Etablissements Peugeot Frères.

 

La société a jusqu’à présent pu se développer grâce à des fonds provenant de proches et à des subventions obtenues lors de concours, notamment en étant lauréate du concours I-Lab 2030 organisé par Bpifrance.  Afin de franchir l’étape de la commercialisation, Oligofeed a finalisé une première levée de fonds en avril 2024, tout en gardant une certaine discrétion sur le montant recherché et les investisseurs mobilisés. Cette augmentation de capital vise également à élargir son éventail de produits.

 

Aneta Ozieranska, co-fondatrice de la deepetch, explique pdans un communiqué officiel de la société : « Avec le déclin de la santé des pollinisateurs, il est crucial que l’écosystème de financement soutienne des approches innovantes pour résoudre ce problème. Je suis ravi d’accueillir nos nouveaux partenaires, qui nous apportent une expertise précieuse pour améliorer nos chances de réussite. »

 

Oligofeed souhaite élargir son champ des possibles, avec pour visée un démarrage de la commercialisation mi-2025.

Capza Transition entre au capital d’Objectif CRPE

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Objectif CRPE, spécialisée dans la préparation au concours de professeur des écoles, procède à sa scission de Cartesia Education avec l’assistance de Capza Transition, qui acquiert le contrôle et envisage de la valoriser entre 20 et 30 millions d’euros. Joffe & Associés (Emilie de Vaucresson) est intervenu en tant que conseil de Cartesia Education, aux cotés de 8 Advisory Avocats et Amala Partners. 

 

CAPZA fait l’acquisition d’une part majoritaire dans Objectif CRPE, leader de la préparation en ligne au concours de recrutement des professeurs des écoles. Objectif CRPE est reconnu pour son excellence dans la préparation au Concours de Recrutement de Professeur des Écoles (CRPE), offrant une plateforme en ligne complète et flexible, une expertise en enseignement interactif et un taux de réussite de 80% au CRPE, largement au-dessus de la moyenne nationale qui avoisine les 35%.

 

Cartesia Education, sous la direction de Benjamin Charignon et Aimery de Vaujuas, s’affirme comme un leader sur le marché des entreprises de formation professionnelles. Ainsi, 400 enseignants et examinateurs dispensent des cours en direct et en replay, proposent des entraînements aux épreuves écrites et orales du concours, et corrigent les copies, le tout via internet. Fondée en 2017 dans le but spécifique de former des personnes en reconversion pour le concours, cette PME a récemment élargi son offre avec « Passion Pédagogie »destinée à accompagner les jeunes enseignants dans leurs premières prises de poste, en enregistrant aujourd’hui un chiffre d’affaires supérieur à 7 millions d’euros.

 

 

« En plus de la forte croissance sur son métier historique, l’entreprise peut alimenter son développement en se positionnant sur d’autres concours d’État, accélérer dans la formation continue ou encore pousser une offre dédiée pour les étudiants, une fois la réforme entérinée » expliquent Eugénié Hériard-Dubreuil et Martine Depas, respectivement dirigeante de d’Objectif CRPE, et avocate associée chez Amala Partners.

Weenat boucle un tour de table de 8,5 millions d’euros

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Pour étendre ses activités à travers l’Europe, le fournisseur de données agro-météorologiques Weenat conclut une levée de fonds de série C de 8,5 millions d’euros avec des investisseurs tels que l’allemand ECBF, le hollandais Pymwymic, et l’investisseur historique Idia Capital Investissement. Joffe & Associés (Océane Christmann et Clémence Bressolin) est intervenu en qualité de conseil de European Circular Bioeconomy Fund (ECBF) et de  Pymwymic dans le cadre de cette opération. 

 

Créée en 2014, la start-up basée à Nantes a initialement fait sensation avec ses mini-capteurs conçus pour simplifier le suivi de la teneur en eau des sols agricoles. Souhaitant accélérer son ambition, la société spécialisée dans la fourniture de données météorologiques vise à concrétiser sa vision grâce à un tour de table de de 8,5 millions d’euros.

 

Cette opération voit l’entrée en jeu de l’allemand European Circular Bioeconomy Fund (ECBF), un fonds formé à la suite d’un appel d’offres de la Commission européenne visant à financer les projets industriels dans le domaine de l’économie circulaire et écologique à un stade avancé, ainsi que le hollandais Pymwymic et Liberset, tandis que l’investisseur historique Idia Capital Investissement renouvelle son soutien financier. Ce dernier avait dirigé la série précédente de 4 millions d’euros en 2021, et précédemment, la start-up avait obtenu 2 millions d’euros de fonds régionaux en 2019.

 

« Il faut permettre aux agriculteurs de vivre de leur métier », explique Jérôme Le Roy, fondateur de Weenat pour le magazine Les Echos. « Au-delà de la poursuite du développement des produits, la levée répondra principalement à notre ambition de déploiement européen, notamment dans l’Europe de l’Est, et servira éventuellement à réaliser de nouvelles petites acquisitions. Il va falloir qu’on sorte de cette crise par le haut », conclut-il.


BOYDSense augmente son capital de 7 millions d’euros

Retrouvez l’article complet sur le site de BOYDSense ici.

 

La société de dispositifs médicaux BOYDSense a procédé à une augmentation de capital de 7 millions d’euros, pour le développement de ses solutions de surveillance non invasive du glucose. Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz et Rémi Rodriguez) est intervenu en qualité de conseil de la société BOYDSense et de ses investisseurs historiques, Jolt Capital et Ambrosia Investments Group dans le cadre de cette opérations. 

 

La division de technologie médicale (‘medtech’) d’Alpha MOS conclut une levée de fonds de sept millions d’euros, comprenant 1,5 million d’euros provenant de la conversion d’obligations convertibles, et 5,5 millions d’euros de trésorerie supplémentaire. Cette augmentation de capital est réalisée par un groupe d’investisseurs mené par le fonds d’investissement « Swiss Diabetes Venture Fund » et par la société Bioserenity avec la participation du Fonds EIC du Conseil européen de l’Innovation. Les deux actionnaires historique d’Alpha MOS, Jolt Capital et Ambrosia Investments participent également à cette opération à travers la conversion des obligations convertibles qu’ils avaient souscrites en 2023.

 

Avec cette augmentation, BOYDSense vise ainsi une accélération du développement de son dispositif non invasif de mesure du glucose pour les personnes atteintes de diabète et de pré-diabète. Les fonds levés permettront à la société de lancer de nouvelles études cliniques, de mettre en place les procédures qualité nécessaires à l’obtention des certifications requises – notamment ISO 13485 – pour une future autorisation de mise sur le marché, de poursuivre la miniaturisation et de recruter des postes clés, tout en assurant une autonomie financière jusqu’en 2025.

 

Dans le communiqué de Boydsense, le directeur de la société Ben Delhey explique que ;  « Ces nouveaux investisseurs apportent à BOYDSense à la fois des ressources financières importantes et de nouvelles compétences et expertises précieuses. Ils complètent le savoir-faire et l’immense contribution de l’équipe de BOYDSense, que je tiens à féliciter pour toutes les étapes que nous avons déjà franchies ».

 

Selon Fortuneo Banque, après cette opération, Alpha MOS restera actionnaire majoritaire avec plus de 60% du capital de BOYDSense.

Elixir Aircraft : Le constructeur rochelais d’avions de formation lève 13 M€ lors de son deuxième tour de financement

Elixir Aircraft : retrouvez l’article original de CFnews ici.

 

Elixir Aircraft, fabricant d’aéronefs destinés à la formation des pilotes de ligne avec un chiffre d’affaires de 2 millions d’euros, obtient une levée de fonds supplémentaire de 13 millions d’euros lors de son deuxième tour de financement. Cette opération est dirigée par Innovacom, Bpifrance, Naco, en collaboration avec des family offices et des acteurs industriels du secteur, ce qui valorise l’entreprise à un peu moins de 50 millions d’euros. Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz et Rudy Diamant) est intervenu en qualité de conseil d’Innovacom et BPIFrance dans le cadre de cette opération. 

 

Ce tour de table vise à développer les solutions de la société sur le marché ; ce plan comprend la construction d’une nouvelle usine de 15 000 m2 adjacente à la piste de l’aérodrome de La Rochelle, l’objectif étant de produire 400 avions d’ici à 2030 et d’augmenter le nombre d’employés de 150 à plus de 500. Actuellement, l’entreprise prévoit de pourvoir 50 postes disponibles par le biais de son processus de recrutement. La demande s’élève à plus de 200 000 appareils à remplacer. Cette demande émane du besoin de former 600 000 pilotes, d’ici 2036.

 

Après avoir obtenu la certification de ses avions en 2020 avec le soutien d’Ouest Croissance et Océan Participations, la start-up fait appel à Linkers fin 2022 pour ce nouveau tour de financement. En un an, elle réussit à mobiliser 13 M€ auprès d’une dizaine d’investisseurs, notamment Innovacom et Bpifrance, ainsi que Naco, son investisseur historique, le fonds de la région Nouvelle-Aquitaine, des family offices et des professionnels du secteur. Cette nouvelle levée s’ajoute à une subvention de 13 M€ obtenue au Salon du Bourget 2023, ainsi qu’à 5 M€ de programmes de recherche et de financements industriels. Complétée par une dette bancaire, l’enveloppe totale atteint les 40 M€ de financements.

 

La société vise à jouer un rôle majeur sur le marché Français et Européen, en développant des aéronefs certifiés et innovants tout en consolidant sa position grâce à d’autres levées de fonds, des partenariats stratégiques, et une expansion significative de sa capacité de production dans les années à venir.

 


LA START-UP COMPOSABLE LEVE 4 MILLIONS DE DOLLARS DANS LE CADRE D’UN TOUR DE TABLE MENÉ PAR ELAIA PARTNERS ET ILLUMINATE FINANCIAL

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Composable, éditeur d’une plateforme facilitant l’intégration des LLM dans les processus de travail des grands comptes, réalise un amorçage de 4 millions de dollars auprès d’Elaia Partners et du britannique Illuminate Financial, co-lead suivis du family office Motier Ventures (Lafayette), de Kima Ventures, du réseau de business angels m-ai clubSuper Capital et de business angels. Joffe & Associés (Virginie Belle et Antoine Lamy)  conseille la société Composable dans le cadre de cette opération.

 

Avec l’arrivée de nouveaux modèles de langage (LLM) toujours plus avancés (OpenAI et leur solution CHATGPT4 pour ne citer qu’eux), l’intérêt des entreprises envers ce type de solutions ne cesse de croitre. Eric Barroca, ancien dirigeant de Nuxeo, expert en gestion de contenu d’entreprise avec près de deux décennies d’expérience, a choisi de contribuer en créant il y a six mois Composable, pour répondre aux attentes de ces sociétés sur le sujet. Il est question d’une solution dédiée à la gestion des vastes modèles de langage d’intelligence artificielle.

 

« L’IA générative change tout car la machine peut lire le contenu de tous les documents. Ça change complètement la façon d’imaginer les processus autour des documents et comment les utiliser. Ils deviennent des sources de données quasiment en temps réel. J’ai joué avec pas mal de modèles pour comprendre comment ils fonctionnent », explique Eric Barroca, co-fondateur de Composable pour le magasine Maddyness.

 

Afin de propulser cette initiative, l’entrepreneur français a récemment finalisé une première levée de fonds de 4 millions de dollars, dirigée par Elaia Partners et Illuminate Financial. Kima Ventures, Super Capital, M.AI, Motier Ventures, et d’autres business angels ont également participé à ce tour de table.

 

Avec ce financement initial, Composable ambitionne de devenir un acteur de confiance, agissant en tant qu’intermédiaire entre les fournisseurs de vastes modèles de langage d’IA générative et les entreprises en quête de solutions pour optimiser leurs opérations.


 

Flatlooker et Hello Syndic unissent leur force dans la création de Manda

La fusion entre Hello Syndic et Flatlooker représente un tournant majeur dans le domaine des services immobiliers. Ces deux précurseurs, spécialisés respectivement dans le syndic de copropriétés « nouvelle génération » et la gestion locative digitale, unissent leurs compétences pour donner naissance à Manda. Joffe & Associés (Thomas Saltiel et Antoine Lamy) est intervenu en tant que conseil de Flatlooker et de ses associés historiques (et notamment son fondateur, Nicolas Goyet et les fonds gérés par Partech Partners (Paris Saclay) et Bpifrance Investissement (F3A)) dans le cadre de cette opération. 

 

Manda pourra s’appuyer sur les 43 millions d’euros apportés par Naxicap Partners à cette occasion. Pas plus tard qu’en mai 2023, ce fonds avait pris part au tour de table de 21 millions d’euros de la startup Hello Syndic. Avec l’ambition audacieuse de servir plus d’un million d’habitants en France d’ici 2029, Manda réinvente les services immobiliers traditionnels, positionnée désormais parmi les quinze principaux acteurs du secteur, desservant à présent 40 000 clients, y compris des copropriétaires, bailleurs et locataires. Soutenu financièrement par Naxicap Partners, Manda vise à proposer une alternative crédible et innovante aux méthodes conventionnelles, redéfinissant ainsi le paysage des services immobiliers.

 

Afin de renforcer davantage sa position en tant que groupe leader sur le marché immobilier, Manda a élaboré une stratégie de croissance externe. En février, la société a déjà acquis deux syndics de copropriété en Île-de-France, et trois acquisitions complémentaires sont programmées au cours du premier semestre 2024. En plus de la région parisienne, Manda cible les villes de Lyon, Marseille et Clermont-Ferrand. Grâce à cette approche, le groupe vise à toucher un million de Français d’ici cinq ans. Pendant cette période, l’effectif de l’entreprise devrait passer de 200 à 1 300 collaborateurs.

 

«Les acteurs de l’immobilier font face à un goulot d’étranglement et parviennent difficilement à traiter l’ensemble des demandes de leurs clients en temps voulu. Manda transforme ce métier en adoptant une approche par pôle de spécialités et traite l’ensemble des demandes entrantes avec le support de l’intelligence artificielle», explique le groupe pour le magazine Maddyness. 

 

Naboo lève 7,5 millions d’euros pour optimiser ses solutions

La société Naboo, spécialisée dans le développement et la commercialisation d’une plateforme de réservation de séminaires destinée aux entreprises, annonce une levée de fonds de 7,5 millions d’euros ce lundi 5 février. Ce financement servira à la start-up pour investir dans les domaines de l’IA et de la gestion des données, visant ainsi à améliorer sa plateforme. Joffe & Associés (Thomas Saltiel, Charlotte Viandaz et Alexia Guyot) est intervenu en qualité de conseil de ISAI, Kima Ventures, Better Angle et de ses investisseurs historiques Cap Horn et Maif Avenir dans le cadre de cette opération. 

 

Avec déjà plus de cinquante collaborateurs chez Naboo, la levée de fonds annoncée le 5 février n’entraînera pas de changements significatifs au sein de l’équipe. Selon Maxime Eduardo, co-président de l’entreprise, cet apport financier ne vise pas à soutenir une politique de recrutement, car les équipes sont déjà solides. L’objectif actuel est de développer de nouvelles fonctionnalités basées sur l’intelligence artificielle.

 

Les fondateurs de Naboo, ayant déjà attiré des clients tels que Chanel, Google ou Carrefour, reconnaissent que pour tenir leurs promesses, ils ont besoin d’une dose supplémentaire d’intelligence artificielle. Face à une demande croissante de deux à trois millions d’euros par semaine, l’IA deviendra une composante majeure du produit, avec des tests déjà en cours en interne par les commerciaux.

 

Ce tour de table permettra à la société d’accélérer ses investissements technologiques ; l’objectif est d’améliorer l’expérience utilisateur en simplifiant le processus grâce à l’utilisation de la data et de l’IA. Cela permettra aux clients de composer et de réserver leurs séminaires de manière autonome et instantanée. Naboo prévoit également d’investir dans le service client en offrant un accompagnement personnalisé aux entreprises pour leurs premières réservations.

 

Cette expansion s’étend à l’international, avec une prévision de présence au Royaume-Uni dès 2025. En seulement un an après le lancement de son offre, Naboo a déjà dépassé le million d’euros de volume d’affaires mensuel et a atteint près de 18 millions d’euros de volume d’affaires annualisé.

 

“Nous sommes heureux du chemin parcouru depuis la création de Naboo : plus de la moitié des entreprises du CAC 40 ont déjà fait appel à nous pour l’organisation de leurs séminaires. Mais ce qui nous surprend le plus, c’est la vitesse avec laquelle Naboo se répand au sein de ses clients une fois qu’une équipe réserve son séminaire. Ce qui les séduit c’est à la fois l’ultra personnalisation et l’instantanéité de la réservation, expérience que nous sommes les seuls à proposer aujourd’hui. C’est un immense avantage que permettent l’IA et la data dans lesquels nous avons décidé d’investir massivement avec cette levée de fonds” explique Maxime Eduardo, pour le magasine Tourmag

Aldoria lève 10 millions d’euros pour sa solution de surveillance spatiale

Retrouvez l’article de CFNews ici.

 

La deeptech Aldoria, anciennement Share My Space, boucle un tour de table de près de 10 millions d’euros, auprès de Bpifrance, Starquest, Audacia, EIC, Space Founders France ou encore Wind Capital. Joffe & Associés (Thomas Saltiel et Camille Malbezin) est intervenu en qualité de conseil de Starquest dans la cadre de cette opération. 

 

Dirigée par Starquest et son apport de 5 millions d’euros, cette levée de fonds témoigne du souhait de la société toulousaine Aldoria qui, dans le cadre du développement de ses solutions de surveillance spatiale, entend bien doubler son réseau de stations optiques d’ici 2025,  et d’enrichir son catalogue de suivi en temps réel des objets spatiaux en orbite. Elle souligne également ses réalisations, notamment son expansion à l’échelle internationale. Grâce à des contrats et des partenariats stratégiques avec des acteurs majeurs du secteur spatial tels que le CNES et l’ESA, des opérateurs de satellites commerciaux tels qu’Airbus Defence & Space, ainsi que des partenaires clés comme Astroscale et Isar Aerospace, l’entreprise est présente dans près de 17 pays à l’heure actuelle.

 

« Nous nous efforçons depuis une demi-décennie de faire reconnaître les orbites terrestres comme faisant partie de notre environnement. De plus en plus de personnes dans la communauté spatiale et au-delà ont pris conscience du problème des débris spatiaux. Nous sommes très heureux de constater que la protection de l’environnement orbital est désormais soutenue par la finance verte, et nous sommes donc particulièrement fiers de notre partenariat avec Starquest Capital à travers leur fonds Protect Article 9, avec le soutien de notre actionnaire existant Expansion Ventures, ainsi que de plusieurs investisseurs publics. » exprime Romain Lucken,  directeur d’ALDORIA.

 

Selon BPI France, d’ici 2030 le nombre de satellites actifs en orbite basse devrait atteindre 40 000, comparé aux près de 9 000 actuels. Les implications de cette croissance sont déjà significatives. En 2023, le système d’information orbitale d’ALDORIA a produit 230 000 mesures indépendantes pour 5 000 objets, prévoyant également 30 millions de rapprochements entre objets spatiaux. Confrontée à une insécurité croissante résultant de l’absence de réglementation du trafic spatial, ALDORIA reprend le contrôle en informant les opérateurs sur les menaces en temps réel.